Sergent Tiboue Tchin Michel: Un malhonnete milliadaire au SEA
L'audit interne est une activité de contrôle et de conseil qui permet d'améliorer le fonctionnement et la performance d'une organisation : activité stratégique, l'audit interne est exercé à l'intérieur de l'organisation, même si le recours à des prestataires extérieurs est parfois nécessaire. Au Service des Essences des Armées de Cote D’Ivoire, l’audit est exclusivement execercé de mains de maître par le Sergent Michel Tchin Tiboué. Peu connu pour des actions militaires d’envergure, M. Tchin jouit d’un respect qui frise l’adoration au ministère de la défense et specifiquement au Service des Essences des Armées (SEA). C’est une voix tres autorisée pour qui des soldats de son rang n’hésitent pas se mettre au garde- à-vous, honneur logiquement reservé aux officiers et subalternes superieurs. Au SEA, le Sergent Tchin a rompu avec l’uniforme et son entrée dans les bureaux, tiré des quatre épingles, cause une véritable frénésie. Les mauvaises langues racontent qu’il aurait des colonels, des commandants et des capitaines sous ses ordres. Cet homme financièrement charismatique est aussi craint pour ses pratiques occultes et mystiques. Puisque c’est de lui qu’il s’agit, M. Tchin, pour parler comme tout le monde, est un richard de plusieurs milliards investis dans l’immobilier, dans le transport, dans l’imprimerie, dans la restauration et dans biens d’autres secteurs d’activité de notre économie. Ce nouveau richard s’octroie des terrains urbains tous les mois et ses immeubles poussent partout à Abidjan comme des champignons. Le nombre de ses taxis est incalculable et son imprimerie a en charge tous les contrats de l’armée ivoirienne. Parlant d’imprimerie, M. Tchin fait imprimer des bons paralleles revendus sur le marché avec la bénédiction des “patrons”, qui eux recoivent leurs part du gateau. Maître dans l’art des audits, M. Tchin ou Sergent Tchin a su sans efforts justifier et couvrir des malversations dans lesquelles il a battaillé pour son propre compte. Ainsi, il aurait royalement defendu des dossiers brulants de disparition étrange de 50, 140 et 150 millions au moment ou les patrons ne voyaient plus d’issue dans le tunnel à scandal. Sacré auditeur! A present, c’est des camions citernes de 35000 litres qui sont portés disparu et tous s’accordent à lorgner le Sergent Tchin. Les colonels et autres commandants crognent lachement dans leurs bureaux. Que peuvent ils faire à un Sergent comme Tchouin, que dis-je Tchin? Il est riche et il s’est entouré de féticheurs et marabouts par qui il opère. Il semblerait qu’il n’hesiterait pas à rendre fou ses potentiels ennemis. Si tous les moyens sont bons pour combattre ses rivaux, l’on comprend difficilement que M. Tchin soit marié à une femme encline à des convulsions clinico-freudiennes. Pourquoi choisit d’etre marié à une femme qui fonctionne partiellement de sa tete? Les indiscretions fusent de partout et convergent vers une meme accusation: Tchouin l’aurait rendue ainsi pour rester fort et riche. En livrant un être cher, le pacte avec le diable devient absolument solide et rendra infinies les possibilités de richesse. Pour les initiés des choses sordides de maraboutages, Tchin aurait envouté aussi ses patrons de sorte qu’il devienne l’unique instance de décision que nul peut contester. Il dit aux colonels ce qu’il faut, et tous s’exécutent. Sinon comment comprendre et justifier l’injonction d’un Sergent dans les prises de decisions. Ainsi utilise t-il ses relations dysfonctionnantes pour mettre ses ennemis hors d’état de nuire. Au ministère de la defense, l’arrogance du Sergent Tchin est devenue insupportable et des voix commencent à se lever contre celui qu’il est convenu d’appeler le voleur privilegié. Pour certains, Sergent Tchouin aurait courtisé leurs petites amies et pour d’autres parcque le soldat aurait tenu un language discourtois. Le nombre des filles forcées aux randonnées sexuelles contre un emploi est impressionant et des proches du Sergent richard, en parlent avec beaucoup d’envie et de jalousie à peine voilée. A moins d’une rare exception, nul ne travaille pour Tchouin si la phase libidinale n’est concluante. A son imprimerie, elles sont toutes belles et racontent une même histoire; se donner pour une augmentation ou pour se faire embaucher. Nous avons recemment interrogé une jeune dame qui dit haïr le Sergent pour l’avoir renvoyée au motif qu’elle voulait desormais rester fidèle à son petit copain. Au lendemain de son affront, elle est remerciée parce que M. Tchin la soupçonne d’avoir volé trois millions. Toutes celles qui passent par son imprimerie connaissent la même et unique histoire de vole comme si le Sergent se rassurait de toujours recruiter des voleuses. Etrange comportement tout de même pour le Sergent voleur qui a une haine pour ceux qu’il soupçonne de voler. Tchouin sait il alors que un bien mal acquis ne profite jamais? Autant il fera la guerre injustement à des personnes innocentes, autant il n’aurait jamais la paix avec sa fortune puante! Mais diantre qu’attendent les autorités pour mettre cet individu aux arrêts? Le temps de l’arrogance gratuite est revolu et nul n’a le droit de priver aux autres les éléments essentiels de la vie. Bien sure M. Tchouin dans cette formation de cleptomanes n’est que le capitaine d’équipe. Nous reviendrons sur le reste des “Princes Koweitiens”. Moussa Boniface, correspondant stagiaire